Shakespeare à Venise
Le Marchand de Venise et Othello illustrés par la Renaissance vénitienne
250 illustrations, 312 pages pour Le Marchand de Venise et 352 pages pour Othello
2 volumes reliés sous coffret de luxe, illustrés, au format 24,5 × 33 cm.
Le décor se compose de 250 peintures de la Renaissance vénitienne provenant pour la plupart des églises et des palais de la cité des Doges. Le rideau se lève sur une scène en clair-obscur où se mêlent le faste et l’artifice du théâtre élisabéthain, et l’on découvre la Venise rêvée de Shakespeare.
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Le Livre
Shakespeare et Venise : un voyage littéraire inédit
En publiant les pièces du célèbre dramaturge anglais dont les intrigues se déroulent à Venise – Le Marchand de Venise et Othello – accompagnées des peintures de la Renaissance vénitienne, nous présentons l’œuvre de Shakespeare sous un jour nouveau et achevons un idéal intellectuel : réunir l’un des plus grands auteurs dramatiques et l’une des plus belles villes du monde, tout en dressant un tableau panoramique des arts de l’époque.
Les choix éditoriaux que nous avons fait tout le long des quatre années nécessaires à cette édition ont été dictés par une rigueur et une exigence à la fois littéraire, picturale et critique, et par le désir d’inviter le lecteur à lire et rêver les pièces d’une manière inédite.
L’iconographie précieuse que l’on trouve page après page souligne la singularité de chaque pièce car elle recrée l’univers shakespearien, lui-même inspiré par une Venise imaginaire faite de faste et de songes.
Ce livre séduira ainsi, en français et en anglais, tant les amoureux de théâtre, les passionnés de Shakespeare et les rêveurs de Venise, que les amateurs de peinture, les spécialistes d’art et les historiens exigeants.
Le texte
Les deux pièces vénitiennes du dramaturge anglais
Notre édition rassemble en deux volumes deux pièces qui, de par leur tonalité littéraire très différentes l’une de l’autre, présentent Shakespeare à Venise comme une double porte d’entrée dans l’univers vénitien : si le Marchand de Venise vert lagune emmène le lecteur dans une intrigue carnavalesque où triomphent les traits d’esprit et la justice, Othello, paré de rouge vif, le fait pénétrer dans l’obscurité d’une Cité où rôdent le pouvoir et la jalousie.
Comédie jouée pour la première fois en 1596, Le Marchand de Venise s’ouvre sur une scène où le jeune Bassanio demande à son ami Antonio, riche marchand chrétien, de lui prêter 3 000 ducats afin d’obtenir la main de la belle Portia. Ne pouvant avancer lui-même une telle somme, Antonio demande un crédit à l’usurier juif Shylock, qui lui propose alors un sinistre marché : si les ducats ne lui sont pas remboursés en temps et en heure, Shylock aura le droit de prélever une livre de la chair d’Antonio. Certain de son profit dans les ports méditerranéens, le marchand accepte avec dérision. Mais au début du troisième acte, tous ses bateaux se sont égarés en mer… Shylock réapparaît alors, un mauvais sourire aux lèvres, réclamant sa livre de chair. L’intrigue amoureuse de Portia et Bassanio, bouleversée par l’arrivée d’autres prétendants, se retrouve ainsi mêlée à la malheureuse promesse d’Antonio qu’une étonnante Justice finit par sauver.
En regard de cette première pièce se déroule la sombre tragédie d’Othello ou Le Maure de Venise, dont la première représentation date de 1604. Othello, chef des armées de Venise, choisit Cassio comme second plutôt que Iago, qui se voit contraint de demeurer son enseigne. Nourrit d’une jalousie et d’une haine démesurées, Iago décide de se venger et fait progressivement tomber les membres de l’entourage du Maure en disgrâce : Cassio, qu’il enivre pour le faire se ridiculiser, est destitué de son rôle de second ; la belle Desdemona, qu’il habille de paroles perfides, prend l’apparence d’une femme adultère aux yeux d’Othello. Empoisonné par cette incertitude grandissante et par la jalousie qui en découle, Othello perd progressivement la raison, tue Desdemona et se suicide.
Visages de Venise
L’ouvrage se présente comme un diptyque dans lequel deux pièces se font écho. Face à face, comédie et tragédie montrent la cité sous un éclairage double : ville de la fête, du commerce, et des équipées lointaines dans Le Marchand de Venise ; ville du pouvoir, ville grave et tourmentée, ville-empire menacée au cœur de la nuit dans Othello, qui s’achève dans le désespoir et le sang. Shakespeare à Venise saisit ainsi la cité des Doges à un moment clef de son histoire : le passage de son apogée à son déclin.
L’intrigue du Marchand de Venise se déroule à une époque antérieure à sa rédaction. Elle prend place à la fin du xᴠᵉ siècle, alors que la cité est encore florissante : les plus grands artistes y séjournent, comme Antonello de Messine en 1465, Albrecht Dürer en 1494 ou Léonard de Vinci en 1500. Parallèlement, à partir de 1469, l’imprimerie arrive à Venise et contribue à faire de la cité un centre majeur de diffusion des écrits en Europe. Enfin, cette époque est aussi celle d’une forte expansion territoriale. Tout au long du xᴠᵉ siècle, Venise consolide ses possessions dans son arrière-pays et sur les mers, jusqu’à devenir le centre stratégique d’un empire maître du commerce mondial.
En 1604, au moment de la première d’Othello, Venise est une ville impériale en crise et dont le contexte religieux est marqué par des tensions particulièrement fortes. La cité est en effet une république laïque, ce que les États Pontificaux n’apprécient guère ; après de multiples injonctions et menaces, elle est excommuniée en 1606.
Des turbulences politiques éclatent à la même époque et de nombreuses tentatives de coups d’états, toujours avortées, sont fomentées. Sur le plan des échanges commerciaux, la fin de l’hégémonie vénitienne s’annonce finalement avec la création de la Compagnie des Indes par les anglais en 1600, et la découverte de nouvelles routes maritimes achèvent d’écarter Venise du foyer commercial.
Sources : intermèdes de Michael Barry
Le Marchand de Venise et Othello, deux pièces de l’altérité
Ces deux pièces de Shakespeare n’ont pas comme unique point commun d’avoir Venise comme toile de fond. Ce sont également deux pièces de l’altérité, où la figure de l’étranger est centrale – celle du Juif Shylock dans Le Marchand de Venise, et du Noir dans Othello. Dans l’histoire du théâtre occidental, il s’agit d’une première : des rôles principaux sont confiés à des personnages qui sont de véritables étrangers dans la vie quotidienne – rappelons qu’au xᴠɪᵉ siècle, rares sont les lieux en Europe où les juifs peuvent pratiquer leur culte, sinon dans la république de Saint-Marc.
Othello et Le Marchand de Venise, en faisant de Shylock et d’Othello non plus deux caricatures comiques mais bien des hommes soumis à des passions et à des dilemmes, confrontent ainsi le spectateur londonien du xᴠɪᵉ à des incarnations subversives de l’alter ego. Dans Othello, qui du Maure ou d’Iago est en réalité le plus noir ?
« L’imagination, partie au galop, crée des figures, les met en mouvement et les métamorphose en d’autres figures. La pièce entre en action. Et Venise est vivante. »
Denis Podalydès, Extrait de la préface
La préface de Denis Podalydès : Cosa Mentale
Homme de théâtre, acteur, metteur en scène, sociétaire de la Comédie-Française et écrivain, Denis Podalydès honore cet ouvrage d’une préface dans laquelle, à la manière d’un promeneur dans notre livre, il écrit sa découverte de l’édition illustrée. Laissant parler le metteur en scène, il compare l’acte d’illustration au travail de l’acteur endossant son rôle, et guide le regard du lecteur vers les passages où textes et images résonnent au plus fort. Il rassure également le lecteur : la présence d’œuvres picturales ne remplace pas l’imagination, mais insuffle aux œuvres une atmosphère qui rend la pièce vivante. Dans ce texte personnel et chaleureux qui salue généreusement le travail d’édition, Denis Podalydès exprime enfin son amour du théâtre, de Shakespeare et l’ouverture enrichissante vers d’autres disciplines.
La traduction de Jean-Michel Déprats
En regard du texte anglais présenté à chaque page, la traduction de notre édition est celle, revue et corrigée, que Jean-Michel Déprats a réalisé pour la Bibliothèque de la Pléiade. Normalien et agrégé d’anglais, ce traducteur émérite dirige en 2002, en collaboration avec Gisèle Venet, une traduction des trente-six pièces de Shakespeare pour la Bibliothèque de la Pléiade aux Éditions Gallimard. Toute en vivacité et modernité car pensée pour la déclamation théâtrale, sa traduction se démarque des traductions plus anciennes qui s’effectuaient alors dans un français plus policé.
Dans sa postface Traduire Shakespeare, Jean-Michel Déprats décrit la tension entre les deux sentiments qui parcourent le traducteur devant l’œuvre de Shakespeare : saisi par les limites de son entreprise et par l’imperfection fatale de son acte, il ressent pourtant du plaisir à écrire et réécrire l’œuvre du maître dont il livre nécessairement sa lecture personnelle. Jean-Michel Déprats nous parle ainsi de l’œuvre d’une vie, nous rendant ainsi sensible à cet acte « ardu mais jubilatoire, dont la fascination est à la mesure du désespoir », qu’est la traduction.
L’iconographie
« Venise se perpétue telle que l’ont décrite et célébrée la plus féconde
des écoles de peinture italienne, des Bellini à Tiepolo, et le cortège des gloires d’Occident,
de Pétrarque à Montaigne, de Dürer à Shakespeare… ».
Philippe Braunstein, in Venise, portrait historique d’une cité.
Depuis Londres, Shakespeare est fasciné par la Sérénissime, qu’il devine et recréé dans ses pièces en s’inspirant de récits, mais également de gravures, de descriptions et d’œuvres évoquant une cité plus ou moins réelle. C’est donc sans quitter l’Angleterre que le célèbre dramaturge installe Le Marchand de Venise et Othello au cœur d’une cité des Doges qu’il n’a jamais vue de ses propres yeux.
Pour recréer le décor de cette Venise rêvée par Shakespeare, nous nous sommes plongées dans la peinture de la Renaissance vénitienne, contemporaine au dramaturge. L’iconographie, depuis les toiles lumineuses de la première Renaissance jusqu’aux tableaux tourmentés de la Renaissance tardive, épouse les formes et les couleurs des deux pièces shakespeariennes et sublime leurs atmosphères.
Le Marchand de Venise est illustré par les œuvres solaires de Vittore Carpaccio, des frères Gentile et Giovanni Bellini, du jeune Giorgione, de Cima da Conegliano – œuvres héritières de Botticelli dans la finesse du trait, la grâce et la transparence aérienne. Ces œuvres, si détaillées qu’elles semblent contenir plusieurs tableaux en un et plusieurs scènes en une, révèlent leur théâtralité essentielle. Les farces, travestissements, traits d’esprit et sous-entendus grivois de la pièce trouvent leur écho dans la lumière et la ligne.
Othello est illustré par les œuvres sombres, où apparaissent des personnages tourmentés, tout de force et de chair puissante, du Tintoret, du Titien, de Véronèse. Dans ces tableaux, l’impression de la théâtralité provient des visages expressifs, des corps éloquents. L’obscurité de l’atmosphère picturale rappelle la noirceur de la ruse de Iago et l’amertume de la trahison qui grandit dans le cœur d’Othello.
Sources : intermèdes de Michael Barry.
Fidèle à notre travail de révélation, nous proposons au lecteur de poser un regard nouveau sur ces chefs-d’œuvre grâce à un cadrage serré sur de nombreux détails auxquels le visiteur de musée ne prête souvent pas attention lorsqu’il découvre ces immenses représentations. Une importante campagne photographique a été menée au sein des plus beaux palais et musées de Venise afin d’obtenir la qualité d’image nécessaire à la mise en valeur de ces détails inédits, que le lecteur ne trouvera nulle part ailleurs. C’est ainsi avec un œil neuf et ravi que celui-ci pourra découvrir un Noir insoupçonné dans Le Banquet chez Lévi, métamorphosé en Othello inquiet espionnant son épouse, ou un détail de façades peint par Carpaccio dans Le Miracle du pont San Lorenzo transformé en décor splendide du Marchand de Venise. À la manière d’une partition théâtrale, les tableaux et les répliques s’enchaînent et se répondent en d’heureuses conjugaisons ; les silhouettes des sujets s’animent au gré des pages et subliment la dramaturgie des deux pièces.
Les apports
Les introductions
Historien de l’art et passionné par Shakespeare dont les lectures l’accompagnent jusque dans ses missions humanitaires au cœur de l’Afghanistan, Michael Barry a rédigé pour cette édition un solide cadre critique qui entrelace Londres et de Venise tout au long de l’ouvrage.
Dans un premier temps, ses trois introductions donnent un éclairage historique sur les liens diplomatiques qui unissaient les deux cités.
La première introduction, intitulée Shakespeare à Venise, met en évidence la fascination de l’auteur et des hommes de son époque pour la Sérénissime et les relations anciennes et durables de ces deux centres européens. Ces liens et ces rencontres sont autant de témoignages qui nous permettent de dresser le parallèle entre l’auteur élisabéthain et la cité des Doges.
La seconde introduction, Que peinture soit poésie, et poésie peinture, porte sur le rapport entre la peinture vénitienne et l’expression littéraire élisabéthaine, et, par extension, sur le rapport entre la poésie et la peinture. Il rappelle l’importance du principe horatien de l’ut pictura poesis qui affirme l’équivalence dans leur force d’expression.
Aperçu de la peinture à Venise entre 1460 et 1620, le troisième texte introductif, érige un bref panorama de la peinture à Venise. Le lecteur y croise les grands peintres illustrant les deux pièces et découvre leur vie et les spécificités de leur peinture. Ces notices permettent au lecteur de mieux comprendre les deux périodes picturales présentent dans Shakespeare et Venise. La première, se déroulant entre 1465 et 1525, est marquée par Andrea Mantegna, Jacopo, Gentile et Giovanni Bellini, Antonello de Messine, Cima de Conegliano, Vittore Carpaccio, Giovanni Mansueti et Albrecht Dürer. La seconde, entre 1510 et 1594, est représentée par Giorgione, Titien, Jacopo Bassano, Véronèse, Tintoret, le Gréco ou encore Rubens.
Les intermèdes
Nous avons également choisi d’apporter un éclairage scientifique au moyen d’intermèdes qui ponctuent les scènes des deux volumes. Imitant la convention théâtrale de l’aparté, ces intermèdes constituent autant de digressions enrichissantes qui reposent le lecteur, le surprennent, le séduisent, tout en restant profondément liés au texte, sans casser le rythme de la lecture et la magie du théâtre. De l’histoire de la monnaie vénitienne au déroulement de la bataille de Lépante en passant par l’étude des travestis et la géographie imaginaire d’Othello, ces coups de projecteurs, rédigés et orchestrés par Michael Barry, se matérialisent par des encarts aux textes brefs et vifs, ouvrant des perspectives et permettant au lecteur de mieux appréhender tant l’imaginaire que la réalité de l’époque.
Les annexes
À la fin de chacun des deux volumes, le lecteur découvrira en traduction française inédite les textes qui ont inspiré Shakespeare pour ces deux pièces, et grâce auxquels il a pu faire naître la cité des Doges dans l’imaginaire du public élisabéthain.
Ainsi découvre-t-on l’évolution d’un conte indien dans lequel on reconnaît l’épreuve des trois coffrets du Marchand de Venise, ou bien l’un des cent contes de Giovanni Battista Giraldi sur lequel s’appuie la trame d’Othello.
Les chronologies
À ces précieux textes sources s’ajoutent deux chronologies détaillées établies par Michael Barry, qui replacent les ouvrages dans leur contexte général.
La première chronologie, intitulée Le siècle de Shakespeare (1485-1660), retrace avec précision le déroulement d’une époque marquée par l’incertitude politique, les guerres de religion et les grandes découvertes.
La seconde, Le millénaire vénitien, expose un millénaire d’histoire de Venise et du monde et développe plus particulièrement la période entre 1404 et 1618. Elle met l’accent sur la fantastique prospérité de cette ville aux portes de l’Orient.
Enfin, à la fin de chaque ouvrage se trouve une table avec les origines des illustrations, ainsi qu’une bibliographie complète et thématique à la fin du volume d’Othello.
Revue de Presse
Un des plus beaux cadeaux imaginables, un choix luxueux, pour les fêtes de fin d’année. Diane de Selliers, à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de sa maison d’édition, démontre, une fois encore la très haute qualité de son inspiration éditoriale.
Mémoire des Arts, A.V
C’est magnifique. Un livre d’une beauté rare, édité par Diane de Selliers, qui nous a habitués à ce luxe d’images et de textes, et pourtant on est encore surpris.
Le Soir, Jean-Claude Vantroyen
Un ouvrage d’une chavirante beauté, qui célèbre les noces fastueuses de la littérature et de la peinture, marie le plus grand dramaturge anglais aux peintres de la Renaissance vénitienne. (….) Un coffret de rêve.
Libération, Robert Maggiori
Un beau livre. Un grand livre. Un livre à lire autant qu’à dévorer des yeux.
La Croix, Didier Méreuze
Folie shakespearienne que ces deux somptueux volumes bilingues où (…) chacun se fera ses mises en scènes mentales du Marchand de Venise et d’Othello (…) Un fascinant théâtre de papier.
Télérama
Cet extraordinaire coffret invite à un plaisir quasi irréel. La beauté y est surabondante (…).
Le Monde des Livres, Florent Georgesco
On se pâme à chaque page. Du grand art !
Le Point, Albert Sebag
Les éditions Diane de Selliers nous offrent en cette fin d’année un magnifique ouvrage (…) Un voyage enchanté et érudit (….). L’ouvrage fourmille d’illustrations somptueuses qui font sens.
Les Échos week-end, T.G
Cette édition rare porte un éclairage neuf sur le théâtre de Shakespeare. Elle prolonge aussi la vitalité des tableaux par la résonance intemporelle des mots du dramaturge.
L’Œil, James Benoit
L’iconographie sublime de ces deux volumes, la préface signée Denis Podalydès, les textes en français et en anglais, et les quatre années de travail, rendent cet ouvrage exceptionnel. À l’image de la Sérénissime.
Version Femina, V.R
Œuvre d’exception, beau livre d’exception. Nulle autre que Diane de Selliers ne pouvait si somptueusement sublimer par l’image la Venise de Shakespeare. Une splendide édition illustrée du Marchand de Venise et d’Othello (…) nous est proposée ici dans un luxueux coffret.
Lire, Estelle Lenartowicz
Un mariage pictural et littéraire évident, scellé par une Diane de Selliers enchantée que l’on puisse célébrer le 25e anniversaire de ses éditions en redécouvrant Shakespeare à travers l’œil de son époque.
Paris Match, François Lestavel
Selon le principe de la Collection, joindre la littérature à d’autres arts, c’est une union extraordinaire entre le théâtre élisabéthain et la peinture italienne qui est ici réalisée. (…) Un coffret unique !
Point de Vue, Jessica Nelson
Dans ce luxueux ouvrage, les éditions Diane de Selliers ont choisi avec finesse et sensibilité les œuvres les plus à même de faire vibrer les mots du dramaturge.
Beaux-Arts Magazine, Daphné Bétard
Les superlatifs viennent immédiatement à l’esprit lorsqu’il s’agit d’évoquer l’admirable coffret qui vient marquer le vingt-cinquième anniversaire des éditions Diane de Selliers, spécialisées depuis toujours dans les publications d’exception.
Le Progrès, Frank Boitelle
Ce livre unique en son genre offre de renouer avec les vers de Shakespeare, d’admirer les peintures de Carpaccio, Bellini, Titien, Tintoret ou Véronèse, et de découvrir une Venise inédite et incroyable de modernité.
France Info, Bernard Thomasson
Un travail d’orfèvre, qui renforce la dramaturgie et la couleur des pièces.
Amour des livres
L’éditrice Diane de Selliers réunit art et littérature dans de luxueuses publications (…) un véritable instrument de travail sur le sujet.
Connaissance des Arts, H.G
La mise en regard de Shakespeare et de la peinture invite au jeu spirituel ou intellectuel, ou cérébral, ou onirique, comme on voudra, qui consiste à faire se mouvoir l’un dans l’autre.
L’Express, Denis Podalydès
Bibliographie
La bibliographie disponible ci-dessous est ordonnée chronologiquement afin de dérouler dans le temps un choix de grands textes critiques qui ont commenté l’œuvre de Shakespeare et témoignent de sa réception à travers les siècles. Elle complète la bibliographie présentée à la fin du volume Othello du livre Shakespeare à Venise, Othello et Le Marchand de Venise illustrés par la Renaissance vénitienne.