L’Épopée de Gilgamesh

illustrée par l’art mésopotamien Photographies de Jean-Christophe Ballot

Traduction de l’arabe d’Abed Azrié

100 œuvres mésopotamiennes photographiées par Jean-Christophe Ballot, 14 photographies des sites antiques irakiens de Jean-Christophe Ballot, notices d’œuvres en fin de volume.
Direction scientifique de l’iconographie et introduction d’Ariane Thomas
Introduction de Gabriel Bauret
Glossaire et repères géographiques et chronologiques

9782364371279 | 2022

La Collection

1 volume relié sous coffret illustré, 280 pages
24,5 x 33 cm
250 

Tirage de tête

1 volume relié sous coffret. Couverture et coffret rembordés d’un papier teinté et embossé.
24.5 x 33 cm
880 

« Seul on ne peut vaincre
mais deux ensemble le peuvent
l’amitié multiplie les forces. »

L’Épopée de Gilgamesh

Le texte

Il y a plus de quatre mille ans, une histoire – la plus ancienne qui nous soit parvenue – se racontait en Mésopotamie : celle du héros Gilgamesh, roi de la dynastie d’Ourouk. Gravée sur des tablettes d’argile entre la fin du IIIe et le début du IIe millénaire avant notre ère, cette légende fut ensuite transmise dans tout le monde oriental durant plus de 2000 ans avant de sombrer dans l’oubli. Redécouverte au milieu du XIXe siècle, cette épopée nous invite à une lecture aussi universelle que contemporaine.

Comme tous les héros antiques, Gilgamesh relie le passé et le présent. Il connaît l’orgueil et la gloire, l’amitié et la tristesse, la confiance et le doute. Il est courageux et intrépide face au danger, anxieux et faible confronté à l’épreuve ultime de la vie. Après la mort de son ami Enkidou, son destin va basculer et ses rêves d’immortalité le ramèneront à son statut d’homme, mortel, un chemin de vie qui ne connaît ni temps ni frontière.

Le parcours initiatique de Gilgamesh

Gilgamesh, roi d’Ourouk, abuse souvent de son pouvoir sur son peuple, jusqu’à ce qu’il découvre l’amitié avec Enkidou, puis la souffrance liée à la perte de son ami, l’incompréhension et le désespoir face à cette disparition. Pour échapper à son chagrin et affronter sa propre peur, il décide de se lancer à la recherche de l’immortalité. Il comprend à la fin de sa quête que la mort est avant tout ce qui donne du prix à la vie. Le lecteur assiste à la transformation du héros. Il était un roi tyrannique, il parvient à gagner l’amour de son peuple. Il était autoritaire, il découvre les bienfaits d’une amitié sincère. Il était un être angoissé par la mort, il revient de son voyage en ayant accepté son destin d’être mortel. Il renonce alors à sa recherche de l’éternité et retourne auprès des vivants pour profiter de l’instant présent.

Figurine-plaquette : deux guerriers, Irak. Époque amorrite, vers 2000-1600 av. J.-C. Terre cuite, 10,1 x 8,8 cm, musée du Louvre, Paris.
© Jean-Christophe Ballot
L’Épopée de Gilgamesh : un texte fondateur

À travers toutes ces aventures le héros s’accomplit. Il acquiert une renommée qui lui permet d’atteindre cette immortalité tant cherchée : le courage, les exploits, l’héroïsme, la sagesse d’un roi sont éternels, ainsi que les remparts d’Ourouk et le récit de ses aventures gravées dans l’argile.

Cette histoire d’amitié, violemment humaine et émouvante, offre au lecteur une véritable leçon de vie.

Lors de sa quête d’immortalité, Gilgamesh rencontre Outa-Napishtim, le survivant du Déluge, qui lui raconte ce qu’il a vécu : des pluies torrentielles déclenchées par les dieux pendant six jours et sept nuits pour éradiquer l’espèce humaine sur la terre.

Au xixe siècle, la redécouverte de cet épisode qui révèle un texte antérieur d’au moins deux millénaires au récit diluvien biblique fait grand bruit. Cette trouvaille, on la doit à George Smith, un apprenti imprimeur qui passe son temps libre au British Museum face à une tablette en argile du VIIe siècle av. J.-C. , découverte à Ninive, au Nord de l’Irak. Exhumée par des archéologues britanniques en 1840, elle est exposée pour ses qualités esthétiques ; la gravure cunéiforme est alors perçue comme un simple dessin.

Passionné par la culture assyrienne et son histoire, George Smith en connaît rapidement plus sur le sujet que le personnel de l’institution londonienne. C’est dans ces couloirs qu’il attire l’attention du grand assyriologue Henry Rawlinson, qui recrute le jeune homme comme assistant pour la restauration et la classification des tablettes.

À leur étude, il fait une découverte incroyable : les tablettes ne contiennent pas des dessins, mais bien une écriture narrant un récit. Véritable révolution pour le monde, L’Épopée de Gilgamesh devient ainsi le plus vieux texte de l’humanité connu, qui influença vraisemblablement de nombreuses œuvres littéraires qui nous sont parvenues et parmi les plus emblématiques, comme la Bible ou l’Odyssée d’Homère.

Ariane Thomas, directrice du département des Antiquités orientales du Louvre qui a dirigé les recherches iconographiques, présente dans son introduction l’incroyable fortune de ce récit qui a traversé le temps et les frontières.

Tablette du Déluge universel
Tablette : récit du Déluge. Irak, Tell Kuyunjik (ancienne Ninive). Époque néo-assyrienne, 934-610 av. J.-C. Argile, 15,24 cm x 3,17 cm. Département des Antiquités orientales, British Museum, Londres © Jean-Christophe Ballot
Tablette : récit du Déluge.
Irak, Tell Kuyunjik (ancienne Ninive).
Époque néo-assyrienne, 934-610 av. J.-C.
Argile, 15,24 cm x 3,17 cm.
Département des Antiquités orientales, British Museum, Londres
© Jean-Christophe Ballot
La traduction d’Abed Azrié

C’est à partir de traductions arabes qui s’appuient sur des fragments originaux qu’Abed Azrié, chanteur et compositeur syrien, né à Alep, a adapté ce récit. Fasciné par L’Épopée de Gilgamesh qu’il découvre en 1970, il décide de la mettre en musique. C’est ce qu’il fait en 1977 en enregistrant une première version d’un oratorio.

Encouragé par le conteur Henri Gougaud, il décide de faire de cette adaptation musicale un livre en prose versifiée (publié aux Éditions Berg, puis chez Albin Michel). La mélodie de sa traduction tire son souffle de cette première création. Grâce à elle, le lecteur s’empare du lyrisme de ce texte millénaire. Abed Azrié crée ainsi une épopée poétique à la narration fluide et lui rend son universalité. Il ouvre une fenêtre sur la richesse du monde mésopotamien.

Abed Azrié cherche avant tout à rendre accessible ce récit extraordinaire, pour que tous puissent se nourrir de ce que les anciens ont légué à l’humanité à travers ce texte. Il scande le récit par la répétition de certains passages, démarche propre à l’écriture épique. S’impriment ainsi en nous les moments clés de la narration, et les vertus des héros.

L’iconographie

La sélection iconographique

L’art mésopotamien est difficile à définir, tant ce terme recouvre un espace géographique et temporel immensément vaste, et il existe très peu de représentation directe et narrative avérée de l’épopée. Et pourtant…

Les yeux de Jean-Christophe Ballot, artiste photographe, posés sur des centaines d’œuvres millénaires venues de Mésopotamie, ont perçu la sensualité d’une courtisane, la sagesse des paroles d’une femme, le trouble du rêve, la vaillance des héros, la terreur du monstre Houmbaba, la violence du Déluge. Un art millénaire qui recèle des trésors. Ariane Thomas nous a ouvert les portes de la collection du musée du Louvre, la plus ancienne au monde, pour y sélectionner les œuvres qui raconteraient le récit, de façon narrative ou au contraire tout à fait suggestive, certains passages du texte nécessitant un choix métaphorique.

Statuette : orante tenant un vase, dite la « femme à l’aryballe ». Irak, Époque néo-sumérienne, vers 2100 av. J.-C. Albâtre, 20 × 8,2 cm. Musée du Louvre, Paris © Jean-Christophe Ballot

Cette sélection a été complétée par des œuvres provenant des deux autres grandes collections européennes constituées au XIXe siècle lorsque les Européens entreprirent les campagnes de fouilles au Moyen-Orient : le British Museum à Londres et le Vorderasiatisches Museum à Berlin qui conservent, eux aussi, des pièces majeures de cette culture. On trouve notamment au Bristish Museum la tablette du Déluge qui a permis de remettre au jour cette civilisation, et, conservés à Berlin les lions représentés sur la voie processionnelle de Babylone. Certaines pièces tout à fait extraordinaires proviennent également du Musée national d’Irak à Bagdad.

Toutes les œuvres sélectionnées sont rattachées à la sphère mésopotamienne, et pour la plupart proviennent de l’actuelle Irak. Leurs dates de création s’étendent sur les trois millénaires marqués par la transmission orale et écrite du récit.

La variété des œuvres sélectionnées permet au lecteur de découvrir la beauté et la richesse de la culture mésopotamienne dans laquelle a prospéré l’histoire de Gilgamesh, des petits sceaux-cylindres aux gigantesques statues assyriennes, en passant par les figurines, les plaquettes, les vases, les orthostates et les koudourrous, sans oublier les fameuses tablettes d’argile recouvertes de texte cunéiforme.

Moule de cuisine, Syrie, Tell Hariri (ancienne Mari),
Époque amorrite, règne de Zimri-Lim, 1775-1761 av. J.-C.
Terre cuite, 27,3 cm (d), musée du Louvre
© Jean-Christophe Ballot
Une création photographique exceptionnelle

Photographe et sculpteur de lumière, Jean-Christophe Ballot crée depuis trente ans une œuvre contemplative et onirique. Il réalise autour du récit de Gilgamesh une œuvre photographique d’envergure, en noir et blanc, et donne une vie nouvelle à plus d’une centaine d’œuvres millénaires.

Une grande partie des œuvres sélectionnées étant conservées au Louvre, Jean-Christophe Ballot y a déposé ses objectifs, ses lumières et ses accessoires de décors pendant trois mois. Au rythme d’un jour par semaine, le mardi, jour de fermeture, Jean-Christophe Ballot a posé son regard sur ces objets et leur a procuré un souffle nouveau.

Parfois directement installé dans les salles du musée, où les vitrines ouvertes lui offraient la possibilité de saisir l’intimité des œuvres, parfois investissant une salle de réserve transformée pour l’occasion en studio photo, le photographe, par son travail de création lumineuse, éveille les figurines en terre cuite. Le mugissement d’Humbaba se fait entendre, le désespoir de Gilgamesh est palpable, la sagesse de la courtisane est apaisante.

La magie a également opéré le temps d’une nuit au British Museum de Londres, lors d’une journée au Vorderasiatisches Museum de Berlin et pendant deux jours au Musée national d’Irak à Bagdad. Afin de prendre toute la mesure de cette antique civilisation, accompagné de Diane de Selliers, Jean-Christophe Ballot est parti en Irak photographier les sites archéologiques du Sud de la Mésopotamie : Babylone, Borsipa, Nippour, Our, Ourouk et la région des Marais, offrant ainsi un écrin exceptionnel au récit et aux œuvres qui l’illustrent.

Prise de vues sur les sites antiques irakiens.
© Éditions Diane de Selliers
Œuvre sur œuvre

La Collection s’ouvre pour la première fois à la photographie. Jouant avec la lumière, s’attachant à un détail, créant un nouvel environnement spatio-temporel, les œuvres de Jean-Christophe Ballot tissent le lien entre passé et présent. Le noir et blanc intensifient cette intemporalité. Grâce à ses effets lumineux, il sublime les œuvres, leur écrit une nouvelle histoire et les fait dialoguer à merveille avec le texte.

Statue : tête de femme, Syrie, Tell Hariri (ancienne Mari).
Époque sumérienne, premier royaume d’Our, vers 2550-2400 av. J.-C.
Calcaire, 14,8 × 12,6 cm, Département des Antiquités orientales, musée du Louvre.
© Jean-Christophe Ballot

Deux rencontres se dessinent ainsi sous les yeux du lecteur : celle entre le texte et l’image (bien connue aux Éditions Diane de Selliers) et celle entre une œuvre millénaire et une œuvre contemporaine. Les pièces antiques deviennent, grâce à la création de Jean-Christophe Ballot, plus accessibles, elles dévoilent des émotions, des secrets qui ont pu échapper au visiteur et que le photographe expose alors et intensifie. On s’abandonne à ses transpositions, à ses interprétations, avec bonheur.

La sensation est là, forte et évidente, elle nourrit notre représentation de l’histoire, l’incarne. Faire œuvre sur œuvre, telle est la démarche, affirmée, de Jean-Christophe Ballot. Il fait corps avec les œuvres pour ne plus photographier des plaquettes, des statues ou des bas-reliefs, mais des êtres et des âmes.

Gabriel Bauret, commissaire d’expositions photographiques, développe dans son introduction qui présente le travail de Jean-Christophe Ballot cette double lecture, où il insiste sur « la résonance des mots et la portée des images ».

Cachet avec caractères cunéiformes sur une dalle d’argile, Ourouk, Irak, février 2022. © Jean-Christophe Ballot
Epopée de Gilgamesh livre art
Crédit : Nicolas Du Pasquier
Quelques mots sur la fabrication

L’impression d’un livre en noir et blanc est un véritable défi. Pour restituer au mieux l’intensité des noirs, le livre est imprimé en trichromie (deux noirs et un gris). Nous utilisons un pantone coloré pour les titres. La couverture du livre est rembordée d’un papier matière teinté dans la masse embossé d’un grain « crush » rappelant la minéralité de la Mésopotamie et de ses œuvres. La couleur terra cotta rappelle l’argile très présente sur ce territoire que l’on nomme le berceau de l’humanité. Le titre de l’ouvrage est imprimé à chaud.

Epopée Gilgamesh - Editions Diane de Selliers
Crédit : Nicolas Du Pasquier
Epopée Gilgamesh - Editions Diane de Selliers
Crédit : Nicolas Du Pasquier
Epopée Gilgamesh - Editions Diane de Selliers
Crédit : Nicolas Du Pasquier

Les spécialistes

Le traducteur : Abed Azrié

Chanteur et compositeur, Abed Azrié naît à Alep et y passe son enfance, avant de déménager à Beyrouth. Soliste durant les messes de son école syriaque, il s’intéresse à la musique très jeune. Il découvre alors une grande diversité de genres musicaux hérités des rites musulmans, chrétiens, ou encore des fêtes arméniennes et kurdes. Après un premier séjour en France en 1965, il décide de s’y installer en 1967, et en acquiert la nationalité en 1971. De passion, la musique devient carrière : en amoureux de la littérature, Abed Azrié met en musique les écrits de poètes, auteurs soufis, textes bibliques, transcendant la barrière de la langue.

Abed Azrié défend un art libéré des codes et des frontières, s’adressant à l’être humain dans ce qu’il a de plus universel et de plus actuel.

Le photographe : Jean-Christophe Ballot

Jean-Christophe Ballot est un photographe contemporain qui vit et travaille à Paris. Architecte, il complète sa formation à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, dans le département photographie, d’où il sort diplômé en 1991. Il passe ensuite par la Femis et devient pensionnaire de la Villa Médicis en 1991. Depuis, il partage son temps entre la photographie et les films documentaires.

Son travail se retrouve aujourd’hui dans les collections de nombreux musées, dont le Metropolitan Museum of Art à New York, le musée du Louvre ou le Centre Pompidou à Paris.

Jean-Christophe Ballot pratique une photographie dite contemplative, fondée sur l’espace. Il travaille principalement le noir et blanc, avec une attention toute particulière accordée au jeu de l’ombre et de la lumière. Ses sujets de prédilection sont variés : l’architecture, le paysage urbain comme naturel, les jardins, les ports, les espaces limites, les lieux de mémoire, les lieux spirituels, les sites lapidaires et archéologiques.

Ariane Thomas

Docteure en archéologie orientale, conservateur du patrimoine et directrice du département des Antiquités orientales du musée du Louvre depuis janvier 2021, Ariane Thomas a étudié à la Sorbonne, l’École du Louvre et l’Institut national du patrimoine, où elle enseigne désormais.

Entrée au Louvre en 2011 comme conservatrice des antiquités mésopotamiennes, Ariane Thomas fut commissaire des expositions « L’histoire commence en Mésopotamie » (2016-2017) et  « Musiques ! Échos de l’Antiquité » (2017), présentées au musée du Louvre-Lens puis à l’étranger. Parallèlement, elle a également participé à de nombreuses fouilles archéologiques en Arabie saoudite, en Ouzbékistan et en Irak, où elle a notamment participé à la réhabilitation du musée de Mossoul, endommagé par l’État islamique.

Gabriel Bauret

Gabriel Bauret assure la rédaction du magazine Zoom, de 1980 à 1984, avant d’être rédacteur en chef de la revue Camera International et membre de la rédaction de Photographies Magazine jusqu’en 1993. Il réalise ensuite, en tant que commissaire indépendant, des expositions en France et à l’étranger. Il est l’auteur de plusieurs livres sur la photographie et préface de nombreuses monographies. Il assure la délégation artistique du Mois de la Photo à Paris en 2006. De 2015 à 2019, il est le commissaire général de la Biennale des photographes du monde arabe organisée par la MEP et l’IMA à Paris. Il est le commissaire en 2018 et 2022 de la manifestation Lumières Nordiques en Normandie dédiée à la photographie nordique contemporaine. Depuis 2021, il collabore en Italie avec Silvana Editoriale à des livres et des expositions.

Revue de presse

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Considérée comme l’un des premiers textes littéraires de l’histoire de l’humanité (VIII-VIIe siècle avant J.C.), l’histoire de Gilgamesh se devait d’entrer au catalogue de l’éditrice Diane de Selliers. C’est chose faite avec ce livre somptueux.

Télérama

Ses livres sont plus que des livres. Ils sont des œuvres d’art uniques, singulières, que l’on feuillette avec délicatesse, avec le sentiment de tenir à portée de main un objet précieux, un écrin merveilleux pour (re) découvrir des récits qui font humanité.

L’Humanité

Une épopée exceptionnelle aux sources de notre littérature et aux côtés de ceux qui la transmettent.

Le Journal du Dimanche

L’épopée de Gilgamesh, racontée à l’oral pendant près de trois mille ans, s’égrène au fil des splendides pages de ce livre, en vis-à-vis de photos en noir et blanc présentant des œuvres antiques dans l’éclat de leur lumière originelle. Comme de coutume, l’éditrice Diane de Selliers magnifie l’âme des textes grâce à un maniement subtil de leur équilibre et de leur sens.

Le Figaro magazine

Une édition somptueuse !

Connaissance des arts

Ce livre atteint un point d’harmonie exceptionnel.

Le Point

Un ouvrage prestigieux et somptueux, à la hauteur du récit légendaire.

Le Monde

L’empreinte du mythe de Gilgamesh, son élan, à travers l’art, la poésie, la philosophie, nous transportent.

L’œil

Un album impressionnant, digne du plus vieux texte de l’humanité.

Le Quotidien du médecin

Un ouvrage à la démesure du super-héros, somptueusement illustré par les chefs d’œuvre et monuments de Mésopotamie (actuel Irak) qu’a photographiés au plus près Jean-Christophe Ballot.

Beaux Arts

Diane de Selliers a fait de cette épopée un livre magnifique, comme c’est l’habitude dans sa maison d’édition.

Le Soir

Bien davantage qu’un livre d’art, ce dernier opus est une vibrante leçon d’humanité…

The Art newspaper

Une œuvre sombre et forte, mettant particulièrement en valeur ce poème millénaire qui chante l’amour, le courage et l’espoir malgré la mort. Une édition exceptionnelle !

Le Point référence

L’histoire de Gilgamesh se devait d’entrer au catalogue de l’éditrice Diane de Selliers. C’est chose faite avec ce livre somptueux.

Télérama

Un travail d’orfèvre illustré de somptueuses photos en noir et blanc et de sculptures anciennes. Magistral.

Version femina

Un dialogue troublant, au-delà des millénaires.

Ouest France

Quelles remarquables photos ! Gros plans, détails, lumière… Quels monuments, il faut dire. Parvenus jusqu’à nous à travers guerres, ravages, iconoclasmes et tragédies. Une sorte de livre de vie qui nous raconte, par le détail et les mots, d’où nous venons, qui nous sommes, où nous allons…

Arts Libres

L’épopée de Gilgamesh, le plus ancien récit légendaire que l’humanité a consigné, a encore la puissance d’inviter celui qui l’écoute à croire en la force d’élévation des œuvres de la culture. Jean-Christophe Ballot en magnifie l’exploration par le jeu de ses photographies en noir et blanc.

Esprit

Une part d’éternité de Gilgamesh réside dans ce conte gravé sur de fragiles tablettes d’argile… et reproduit dans ce livre rare.

Les Echos

Cet ouvrage conjugue en une rare qualité le texte de l’épopée provenant de la fin du IIIe millénaire av. J.-C. traduit avec délicatesse et poésie par Abed Azrié et de splendides photographies dues au talent du photographe Jean-Christophe Ballot.

Aleteia

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